• Images nettes 24 heures sur 24, quels que soient les facteurs environnementaux : niveaux de lumière, le contraste, le rétroéclairage, les ombres, le brouillard, la pluie, etc.
• Détection ultra-efficace : franchissement de ligne, intrusion, détection d'incendie...
• Avec la caméra thermique vous pouvez facilement découvrir des objets et des risques potentiels qui sont invisibles pour les caméras conventionnelles
• La détection thermique couvre des distances beaucoup plus grandes

Parlons physique et technologie...

Chaque type de rayonnement a une longueur d'onde unique. Tout objet dont la température est supérieure au zéro absolu peut émettre une quantité détectable de rayonnement infrarouge. Plus la température d'un objet est élevée, plus le rayonnement infrarouge est émis.

Bien qu'invisibles à l'oeil humain, les caméras thermiques détectent ce type de rayonnement (de 8 à 14 μm de longueur d'onde, soit 8 000 à 14 000 nm) et produisent des images en utilisant les différences de température, ce qui permet de voir l'environnement sans lumière visible.

La portée effective d'une caméra infrarouge est ce que l'on entend par "voir un objet". Les seuils définis, connus sous le nom de critères de Johnson, font référence au nombre minimum de pixels nécessaires pour détecter, reconnaître ou identifier les cibles capturées par les imageurs de scène.
Les limites inférieures de détection, de reconnaissance et d'identification (DRI), selon les critères de Johnson sont :

• Détection : Pour distinguer un objet de son arrière-plan, l'image doit être couverte par 1,5 pixel ou plus.
• Reconnaissance : Afin de classer l'objet (animal, humain, véhicule, bateau, etc.), l'image doit avoir au moins 6 pixels dans sa dimension critique.
• Identification : Afin d'identifier l'objet et de le décrire en détail, la dimension critique doit être d'au moins 12 pixels.